Parution le 10 novembre du nouveau livre « Si je t’oublie Kurdistan » de l’écrivain Olivier Weber.


Avec ces « choses vues » dans les villages et les maquis du Kurdistan, un récit engagé mêlant faits et impressions, l’écrivain-voyageur signe non seulement un cri de révolte mais aussi un vibrant plaidoyer en faveur de la liberté et contre la violence de notre temps.

Défenseur de la cause kurde depuis longtemps, Olivier Weber s’est à nouveau rendu sur le terrain à la rencontre de ces militants de la liberté et des peshmergas, « les combattants de la mort ». En Syrie et en Irak, il a vu des partisanes et des partisans prompts à se battre encore, dans l’attente de l’aide internationale ou de volontaires comme lors de la guerre d’Espagne.

Désireux de bâtir un Moyen-Orient en paix, alors que le président turc Erdogan enrôle des mercenaires islamistes pour les combattre. Impatients de reconstruire la mémoire de la Mésopotamie. Fiers de montrer leur expérience démocratique avec le respect des minorités, l’égalité entre les femmes et les hommes, un modèle de société qui représente un véritable laboratoire des droits de l’Homme au Moyen-Orient.


L’Occident va-t-il achever de leur faire croire en leur proverbe, selon lequel ils n’ont « pour amis que les montagnes », ou va-t-il enfin se montrer à la hauteur ?

Olivier Weber



Editions De L’aube 
128 pages – 16 euros
Parution le 10 novembre 2020